PRIX DU JURY PROFESSIONNEL FORMÉ DE :
Qui est accompagné d’une bourse de 500 $, remise par Longue vue sur le court.
Le choix a été difficile. La sélection internationale était bien relevée et plusieurs films nous ont plu.
Le jury a décidé d’attribuer une mention à un film :
Les finalistes sont :
La mention est attribuée à :
#Ya de Ygor Gama & Florencia Rovlich
Le jury a arrêté son choix sur un film :
Le prix est remis à :
La laine sur le dos de Lotfi Achour
Le prix accompagné d’un certificat cadeau échangeable au Mandala Spa Urbain.
Un scénario s'est démarqué de tous les autres. Pour son caractère émouvant, la finesse de sa construction,
l'écriture narrative qui se base sur la puissance des images, la force des non-dits à l'écran, la sensibilité et la
justesse du ton, le fil conducteur clair et finalement pour l'exploration de thèmes actuels et universels comme
l'immigration, l'intimidation et la communication dans les rapports familiaux.
Les finalistes sont :
Nous sommes heureux de remettre le prix à :
Le nom que tu portes
Réalisé par Hervé Demers
Écrit par Jean-Philippe Boudreau
Le prix est accompagné d’un certificat d’une valeur de 500 $ échangeable pour une formation du programme Espresso. De plus, la gagnante ou le gagnant de ce prix est invité à prendre part au jury professionnel de la prochaine édition du festival.
Les finalistes sont :
Le prix INIS est remis à :
La Voce de David Hulot
Le prix est accompagné d’une bourse de 2 000 $ en service de postproduction.
Pour sa poésie à fleur de peau, sa sensibilité mélancolique, son utilisation sensuelle des textures et son déchirant dialogue anglo/franco, le prix Cineground - Coup de coeur du jury est remis à :
Seuls de Katia M. Briand
Le prix est accompagné d’une bourse de 5 000 $ en location d’équipements.
Les finalistes sont :
Pour son esthétisme qui sort grandement des sentiers battus, sa prise de risques continuelle et sa façon expérimentale de jouer avec la matière brute du cinéma, le prix Cinepool / Département Caméra - Meilleur film « Premières œuvres » est remis à :
Only Lovers Leave to Die de Vladimic Kanic.
Le prix est accompagné d’une bourse de 5 000 $ en service de postproduction. De plus, la gagnante ou le gagnant de ce prix, obtient un laissez-passer pour la compétition internationale du Festival du Film Court Francophone de Vaulx-en-Velin, Un poing c’est court qui célèbrera sa 17e édition en janvier prochain.
Les finalistes sont :
À un film qui propose un regard à la fois énigmatique et provocateur, d’appréhensions pour le regard du spectateur, tout en ayant un travail de cadrage et de cinéma exemplaire. Le PRIX TECHNICOLOR du MEILLEUR COURT MÉTRAGE QUÉBÉCOIS est remis à :
E de Raphaël Ouellet
Pour le sujet original d’une femme forte et très créative, pour la tension palpable entre les personnages, pour le jeu naturel des acteurs et la touche d’humour, nous décernons une mention au film :
Prenjak de Wregas Bhanuteja
Ce film nous a complètement projeté dans un univers lyrique, étrange et mystérieux. Nous lui attribuons donc la mention de notre jury pour le côté recherché de l’œuvre et pour la qualité de ses plans. À notre sens, l’esthétique de Lost village était techniquement irréprochable. Un film de George Todria :
Lost village de George Todria
Tout comme un opéra, l’introduction nous a brillamment percuté. L’horreur y était abordée de manière poétique et différente à ce que nous sommes habitués de voir. La poésie « glauque » de La Voce ainsi que son ambiance viscérale nous ont tout simplement laissés sans voix! Un film de David Hulot :
La Voce de David Hulot
Ce court métrage que nous avons choisi pour la mention brise toutes les conventions, qu’elles soient cinématographiques ou sociales. Le politiquement correcte est habilement déjoué. Nous retenons particulièrement l’humour décalé de Ruby pleine de marde. Un film de Jean-Guillaume Bastien :
Ruby pleine de marde de Jean-Guillaume Bastien
Ce huis clos capture avec finesse la complexité du genre humain. Nous avons été touchés par cet arrêt inattendu et absurde qui bouleverse le confort de la solitude urbaine. Le prix va au film Red Light de Toma Warsarow :
Red Light de Toma Warsarow
Pour l’originalité du scénario sur une thématique des plus actuelle, pour son rythme efficace, la montée dramatique avec une conclusion imprévue, le tout appuyé par une solide bande sonore. Le jury aîné accorde une mention au film allemand Risky game de Stefan Plepp :
Risky game de Stefan Plepp
D’inspiration felliniesque, pour son lyrisme, pour le contraste entre raffinement et brutalité, pour le montage visuel et sonore remarquable. Parce que ce film utilise tous les leviers du cinéma actuel avec un clin d’œil frivole tout à fait savoureux. Pour toutes ces raisons, le jury aîné retient comme premier prix, La Voce de David Hulot :
La Voce David Hulot